La femme divorcee, un manteau court soulignant ses jambes fines et ses gros seins, attendait impatiemment son colis dans le parking désert. L’air frais effleurait sa peau nue tandis qu’elle vérifiait sa montre, les talons aiguilles creusant des sillons dans l’asphalte. Un rugissement de moteur la fit sursauter : un coursier moto arriva en freinant violemment, son casque relevé dévoilant une mâchoire carrée et un regard brûlant. « Désolé pour le retard », murmura-t-il sans quitter ses lèvres des yeux. Ses doigts calleux effleurèrent la courbe de ses hanches, son souffle chaud chatouillant sa gorge.
Elle recula légèrement, mais il attrapa ses poignets et les emprisonna contre le mur rugueux du parking. « Tu as une chatte affamée… Je peux sentir ton désir à travers tes vêtements. » Sa voix rauque vibra dans son cou tandis que sa main libre descendait vers la fermeture éclair de son pantalon. La femme se mordit les lèvres, ses seins gonflés et tendus sous le tissu transpirant de son pull en laine. « Attends… Je n’ai pas commandé un colis humain », chuchota-t-elle entre des dents serrées. Il sourit, écarta ses cuisses pour y glisser une main experte et plongea directement sa langue dans son sexe, la faisant gémir.
« Tu aimes ça… » Il butait contre sa chatte rasée avec une force animale avant de lui arracher le pull. Ses seins tremblaient sous ses caresses brutales tandis qu’il suçait et aspirait ses tétons enflammés. « Plus fort ! », geignit-elle, son cul rebondi s’écrasant contre son sexe dur et gonflé qui émergea de son pantalon ouvert.
Il la retourna violemment à quatre pattes et plongea un doigt dans son anus avant de le remplacer par sa queue humide de salive. « Oh oui, c’est ça ! », rugit-il en la possédant sans ménagement. Elle hurla tandis qu’il se retirait pour la baiser avec une brutalité inouïe, ses fesses écartées et tremblantes sous son rythme effréné.
Son souffle saccadé se mêlait à leurs cris, le contact de sa main calleuse sur ses seins lui arrachant des ondulations infernales. « Encore… Plus vite ! », supplia-t-elle entre deux gémissements aigus pendant que son clitoris éclatait sous les coups de langue du coursier penché entre ses cuisses.
Ses doigts fendaient son sexe trempé et s’enfonçaient dans son cul tandis qu’il suçait son clito avec une avidité féroce. « Jouis pour moi, salope », ordonna-t-il avant de se retirer d’un coup sec puis de plonger à nouveau en elle, la pénétrant jusqu’à l’os pendant que ses paumes étreignaient ses seins élastiques et rebondis.
Elle hurla, son vagin contractant violemment autour du membre qui s’enfonçait dans son ventre. « Merde… », grogna-t-il en se retirant de nouveau pour la masturber avec une violence inouïe. Ses testicules claquaient contre ses fesses pendant qu’il lui arrachait des orgasmes successifs, son sperme brûlant jaillissant dans sa bouche en giclées hystériques.
Elle le regarda se masturber violemment sous les projecteurs du parking, sa main englobant son sexe dur et gonflé, ses coups de reins désordonnés lui arrachant des cris rauques. « Vas-y… », supplia-t-elle en se frottant contre le sol humide.
Ses doigts replongèrent dans sa chatte éclatée et il s’enfonça à nouveau en elle pendant que ses dents lacéraient son cou, la faisant gémir de plaisir. « Oh mon Dieu… », haleta-t-elle entre des sanglots extasés, le ventre contracté par une vague de jouissance qui menaçait de l’exploser.
