La pluie tambourinait contre les vitres du café, créant une symphonie de sons atténués. Sur un tabouret près de la fenêtre, Valérie observait l’étudiant aux doigts de guitare qui s’entraînait dans le coin, son jean moulant ses fesses fermes et ses gros seins soulignant un pull ample. Lorsqu’il se pencha vers elle pour commander un café, son parfum boisé enveloppa son cou, faisant vibrer sa nuque comme une note de basse. Son regard glissa sur les cicatrices blanches de son avant-bras—symbole de ses années passées dans des bars aux guitares aigues—avant qu’elle ne détourne les yeux vers la fenêtre.
Son mari, absent depuis une semaine à un festival musical, avait laissé en elle un vide silencieux. Les doigts de Valérie jouèrent avec le cendrier de métal froid entre ses seins, son regard capturant le reflet du garçon se redressant près d’elle. Son sexe dur et gonflé sous son jean frôlait sa jambe lorsqu’il s’assit à côté, son souffle emplissant ses oreilles d’une tension palpable. « Excusez-moi », murmura-t-il en français hésitant, un sourire timide étirant ses lèvres. Elle sentit son sexe durcir davantage.
Son odeur de citron et de cuir envahit ses narines tandis qu’il jouait des doigts sur sa guitare, ses muscles se contractant sous le tissu. Valérie imagina son doigt dans la chatte, un doigt dans le cul—la friction rugueuse d’une peau calleuse contre son intimité lisse et rasée. Lorsqu’il posa sa main chaude sur sa cuisse, elle frissonna comme une note de violoncelle déchirante. « Tu joues souvent ici ? » demanda-t-elle, sa voix rauque d’une envie qu’elle n’arrivait plus à ignorer.
Il rit doucement, ses pupilles dilatées se fixant sur ses lèvres pulpeuses. Son souffle s’accéléra tandis qu’il expliquait son amour pour les compositions nocturnes, son pouce traçant des cercles hypnotiques autour de son genou. Valérie sentit son sexe gonfler plus encore dans son jean, sa chatte se serrant comme un instrument à cordes mal accordé. « Viens », murmura-t-elle en glissant une main sous la table pour empoigner son érection douloureusement raidie.
Ils finirent au loft de l’étudiant, le soleil couchant teintant les murs de nuances brunes. La guitare gisait abandonnée par terre tandis que Valérie se débarrassa de son pull, révélant sa chatte rasée et ses seins pleins. Ses doigts agiles trouvèrent instantanément son sexe dur, le caressant avec une précision qui le fit gémit comme un instrument maltraité par un apprenti. « Plus fort », supplia-t-il en étouffant son cri contre l’oreiller.
Valérie se pencha vers son bassin, sa bouche enveloppant son membre dur avec une dévotion rituelle. Son regard captura le sien tandis qu’elle pratiquait le sexe oral—sa langue balayant la gueule de son sexe tel un plectre sur des cordes vibrantes. Lorsqu’il frissonna, elle écarta ses fesses pour explorer l’entrée d’une main audacieuse, son doigt trouvant une chair humide et accueillante comme le creux d’un instrument ancien. « Putain… », gémit-il en agrippant les mèches de ses seins libres.
La chatte de Valérie se contracta à la sensation de sa main entre ses jambes, son clitoris dressé sous des caresses expertes. Lorsqu’il s’agenouilla derrière elle pour l’engloutir dans un baiser vorace, ses doigts firent une fellation simultanée à son sexe et son cul—un rythme syncopé qui la propulsa vers un orgasme rugueux, ses cris étouffés par des gémissements de l’étudiant. « Plus vite », exigea-t-elle en sentant le désir le submerger.
Il se redressa soudainement pour lui arracher son pantalon, son sexe dur et gonflé frôlant sa chatte avant de la pénétrer avec une force brute qui la fit tomber à genoux. « Allez… », supplia-t-elle, sa chatte accueillant chaque poussée comme un tambour enivré par l’adrénaline. Il s’enfonça plus profondément, ses cris se mêlant aux siens lorsqu’il lui demanda de regarder son cul—son visage et son sexe durs se reflétant dans le miroir derrière elle.
Son sexe dur se perdit en une double pénétration salvatrice lorsqu’elle se coucha à quatre pattes, son amant lui enfonçant un doigt dans l’anus tandis qu’il la prenait par-devant. « Encore… », geignit-il entre ses fesses, son sexe dur et gonflé pulsant comme un instrument frénétique. Valérie se tortilla sous lui, sa chatte accueillant chaque coup de reins avec une voracité qui l’entraîna vers des orgasmes multiples.
Lorsque le premier jet de sperme gicla en elle, son sexe dur et gonflé sursauta violemment entre ses seins avant qu’il ne s’enfonce à nouveau dans un râle éperdu. « Putain, Valérie… », cria-t-il tandis que sa chatte accueillait le deuxième jet de sperme en une double pénétration salvatrice qui l’envoya valser vers un ultime orgasme brûlant.
Ses doigts jouèrent dans ses cheveux, son sexe dur et gonflé se perdant entre les plis humides de sa chatte tandis qu’il murmurait des paroles en français. « Tu as une chatte démoniaque », gémit-il avant que son sperme ne gicle à nouveau entre ses seins, son odeur de musc et de sueur remplissant l’air comme un air joué sur une guitare.
