L’air climatisé frissonnait sur leurs peaux moites tandis que Marie, MILF aux seins généreux et à la silhouette pulpeuse, abandonna son siège en cuir face à Éric. Ses talons aiguilles glissèrent silencieusement vers lui, ses ongles vernis de rouge effleurant le col de sa chemise. « Tu as toujours aimé mon odeur ? » murmura-t-elle, sentant ses propres reins se serrer au contact de son regard brûlant. Leurs souffles se mêlaient, les rires étouffés par la tension palpable entre les dossiers empilés et le tableau blanc. Ses seins gonflèrent sous son chemisier lâche, ses aréoles roses pressées contre sa poitrine.
Éric saisit ses hanches dans un geste brusque, plaquant ses paumes sur ses fesses rondes avant de les écarter doucement. « Tu es trop belle », souffla-t-il en mordillant son cou, ses doigts explorant le sillon entre ses globes charnus. Marie gémit quand il attrapa un téton dressé entre ses lèvres, aspirant sa chair tendre jusqu’à la faire trembler. « Tu vas finir dans mes mains… » Elle rit, son sexe dur et gonflé déjà pressé contre son pantalon. Sa chatte rasée frissonna sous les caresses de son collègue, qui se mit à explorer son intimité avec des doigts experts avant d’entamer une fellation sans précédent.
Les mains d’Éric s’enfoncèrent dans ses fesses quand il la souleva pour l’emporter vers le coin sombre de la salle. « À quatre pattes », rugit-il, et Marie se cambra sur ses genoux, son sexe dur enfin libéré du tissu. Il caressa son clitoris d’une main avant de plonger un doigt dans sa chatte chaude, puis un deuxième pour l’agacer à l’intérieur. « Vas-y… respire-moi », ordonna-t-il quand ses ongles griffèrent ses fesses et que son membre se dressa entre ses cuisses.
Marie gémit en sentant le sexe d’Éric lui déchirer la chatte, les gémissements de l’orgasme s’étranglant dans sa gorge. Leurs corps se heurtaient à un rythme brutal, leurs respirations mêlées par des souffles courts et des rires étouffés. « Encore… plus », supplia-t-elle quand il se mit à la masturber avec une main, son gland pressé contre son clitoris jusqu’à ce qu’elle s’arque en criant.
Éric écarta ses fesses pour plonger un doigt dans son cul serré. « Tu es tellement… salope », grommela-t-il quand elle se mit à haleter, la chatte trempée et le ventre tendu sous l’effort de serrer et relâcher autour de lui. Il recula pour dégager ses boucles brunes, suçant son clitoris avec force avant d’enfourcher sa main dans une fellation féroce. « Engloutis-moi… maintenant », gémit-il en l’écartelant à nouveau.
La chatte de Marie se contracta autour des doigts d’Éric quand il recula, son membre dur et gonflé pointant vers sa bouche. « Ouvre-toi », ordonna-t-il avant de la pénétrer en une poussée profonde qui la fit basculer contre le mur. Il lui empoigna les seins, ses doigts plantés dans ses globes tendus et gonflés pendant qu’il se retirait pour plonger à nouveau dans son intimité brûlante.
Marie gémit quand il plaqua sa bouche sur la sienne, leur salive mêlée aux gémissements de l’orgasme. Ses seins rebondissaient sous ses attouchements, et elle se cambra pour le sentir plus profondément en elle lorsqu’il la souleva à nouveau contre le mur. « Plus fort », supplia-t-elle, son sexe palpitant et tendu entre ses cuisses.
Éric grogna quand il sentit sa chatte serrer son membre à l’intérieur d’elle, son cul rebondissant sous ses mains. « Tu es trop… » Il se mit à bouger en elle avec une force accrue, ses doigts plantés dans sa chair tendre et vibrante avant qu’il ne lui arrache un orgasme de telle manière que ses cris résonnèrent dans la pièce.
« Encore… plus », gémit Marie quand il se mit à la masturber avec une main pendant que l’autre s’enfonçait en elle. Elle le regarda, son ventre tendu et gonflé sous leurs caresses, ses seins ballottant au rythme des coups de reins.
Éric grogna quand il sentit sa chatte se contracter autour du doigt qu’il y avait plongé pour l’agacer à l’intérieur. « Vas-y… respire-moi », rugit-il, ses ongles plantés dans son ventre tendu et vibrant.
La chatte de Marie palpitait et tremblait sous les attouchements d’Éric pendant qu’il la pénétrait une fois encore avec sa main, avant que son membre ne se tende pour l’emporter vers un orgasme final. Ses cris se mêlèrent à ses gémissements et à leurs souffles haletants, tandis que les échos des rires de Marie résonnaient dans la pièce.







